Saturday, June 1, 2013

Ayunar para sanarse

Le jeûne pour se soigner
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/513147-le-jeune-une-nouvelle-facon-de-se-soigner.html
Comment imaginer que se priver peut rendre plus fort ? C'est pourtant ce que prouvent plusieurs études venues de l'étranger : le jeûne guérit. Explications de Thierry de Lestrade et Sylvie Gilman, réalisateurs de documentaires, notamment auteurs de "Le jeûne, une nouvelle thérapie ?", qui sera diffusé sur Arte à la fin du mois.

Édité par Louise Pothier  Auteur parrainé par Guillaume Malaurie
Notre système de santé craque de toutes parts. Les comptes sont dans le rouge. Les maladies s’installent : diabète, hypertension, pathologies inflammatoires, allergies, dépressions… À chacune sa pilule. Nous vivons plus vieux, pieds et poings liés aux béquilles chimiques fournies par l’industrie du médicament. L’obésité fait des ravages, le cancer frappe chaque famille.
Ce constat est connu de tous aujourd’hui. Et que faisons nous ? Nous poursuivons dans la même direction.

Qui s’en soucie ? Les médecins suivent les protocoles, les comptables chiffrent, la dette enfle.
Que faire face à ce dérèglement du système de santé ?

Nous pouvons peut-être changer de perspective, penser notre système comme un vrai système de santé et non comme un système de la maladie.
Nous pourrions travailler sur le corps dans son ensemble, au contraire de la pratique qui veut que le médecin soigne son patient comme un garagiste répare une voiture : quand il a un pépin, par pièces interchangeables.

Au fil de ce questionnement, nous sommes tombés sur un vieux truc, vieux comme le monde : le jeûne. Étrange pratique, qui incite souvent à l’ironie, parce qu’elle effraie un peu (beaucoup) : qui n’a pas peur du manque ?
Jeûner, c’est entrer dans un pays inconnu

Aucun de nous n’avait jeûné, ne connaissait des gens qui avaient jeûné, avant de nous lancer dans une enquête qui voulait répondre à trois questions : est-il dangereux de jeûner ? A-t-on observé dans le corps, de manière objective, scientifique, les effets du jeûne ? Ses effets sont-ils bénéfiques ?

Ne revenons pas en détails sur les résultats de cette enquête : nous les racontons dans le documentaire diffusé sur Arte le 29 mars (1).

Précisons néanmoins que les découvertes sur le jeûne sont tout à fait étonnantes.
Les Soviétiques ont constitué 40 ans d’études cliniques, établi des protocoles, des listes d’indication et de contre indication et ont soigné des dizaines de milliers de patients. La pratique est également réelle de l’autre côté du Rhin : 15 à 20% des Allemands déclarent avoir jeûné et, est-ce une coïncidence, ils consomment beaucoup moins de médicaments que nous.

Un chercheur de l’université de Californie, Valter Longo, vient de son côté de publier dans une revue scientifique haut de gamme des résultats surprenants, chez la souris, sur le jeûne et la chimiothérapie.
Le jeûne, plus qu'une simple solution, un révélateur 
Le jeûne n’est pas la panacée. Il ne sera pas la solution à lui seul des problèmes de notre système de santé.
Mais le jeûne est un révélateur. Révélateur de la capacité à penser autrement.
Interrogé dans un hebdomadaire cette semaine, un cancérologue français de l’hôpital Cochin n’a pas craint d’affirmer : "Le jeûne n’a aucune place dans le champs des pathologies malignes." ("Elle", 23 mars 2012), à l’encontre des publications de Longo. En France, ne changeons rien. Pensons comme nous avons toujours pensé.
Autre son de cloche au Norris Hospital de Los Angeles, un des centres de cancérologie les plus importants de Californie, où un essai thérapeutique préliminaire est conduit en faisant jeûner des patients atteints de cancer avant la chimiothérapie. David Quinn, chef du service des essais thérapeutiques (200 essais thérapeutiques sont conduits chaque année), nous a déclaré : "Nous suivons avec beaucoup d’intérêt cette piste. Une méthode simple, facile à mettre en œuvre, et pas chère, potentiellement applicable à tous les cancers : pourquoi la négliger ?"
Pour l’instant, il ne s’agit que d’essais préliminaires. N’empêche, la clinique Mayo a lancé elle aussi des essais thérapeutiques, l’Université de Leiden, aux Pays-Bas également.
Et en France ? Pas d’essais en vue. Dans le même hebdomadaire, un autre professeur déclare : "Jeûner est à proscrire en cas de maladie." ("Elle", 23 mars 2012)
Et au nom de quoi, dans une France championne du monde de la consommation de médicaments ? De l’ignorance ? De l’incapacité à penser le monde autrement ?
Comme nous le disait Valter Longo : "C’est difficile d’imaginer que vous pouvez supprimer la nourriture à quelqu’un et qu’il devient plus fort." Et Valentin Nicolaïev, à Moscou, d’ajouter : "C’est encore plus difficile pour un médecin. Jeûner, c’est un peu mettre sa tête à l’envers."
Sommes-nous prêts à penser le monde autrement ? À penser notre système de santé autrement, à penser notre rapport au soin et au corps différemment ?
Et si le manque n’était plus vécu comme une défaite ? "Moins" pourrait-il être "Plus" ?

Thursday, May 23, 2013

Malnutrición: marasmo y kwashiorkor


http://dc198.4shared.com/doc/Bf8FtSCb/preview.html
Malnutrition is a condition of over- or under-nutrition. Under-nutrition is more common in developing countries. In countries in transition, e.g. KSA, the problem of over-nutrition is increasing.
Protein Energy Malnutrition in Children:
It is considered a spectrum of disease:
  • Sub-clinical forms of PEM (mild-moderate PEM) are characterized by growth and development retardation.
  • Severe forms manifest clinically as:
    • Marasmus
    • Kwashiorkor
    • Marasmic-kwashiorkor (cases with mixed features)
Protein-energy malnutrition (PEM) affects every fourth child world-wide: 150 million (26.7%) are underweight while 182 million (32.5%) are stunted. Geographically, more than 70% of PEM children live in Asia, 26% in Africa and 4% in Latin America and the Caribbean.
  • Marasmus is real starvation. There is deficiency of energy and all nutrients. It’s primarily a disease of infancy. It’s widespread among the low socio-economic groups of most developing countries and is much more common than kwashiorkor.
  • Kwashiorkor results from deficiency of protein and to a less extent other nutrients in the presence of adequate or even excess energy intake. It’s primarily a condition of early life (2-3 years), but older children and adults may be affected. Kwashiorkor in language of Ghana means: “the disease the first child gets when the next one is on the way”

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Marasmo
Starved child.jpg
Niño aquejado de Marasmo en la India
Clasificación y recursos externos
CIE-10 E41-E42
CIE-9 261
DiseasesDB 7826
eMedicine ped/164
MeSH D011502
Wikipedia no es un consultorio médico Aviso médico 
Marasmo es un tipo de desnutrición energética por defecto, acompañada de emaciación (flaqueza exagerada), resultado de un déficit calórico total. Otros tipos de malnutrición son el kwashiorkor y la caquexia (la más común en el mundo más desarrollado). El marasmo se da dentro del primer año, se produce cuando la madre deja de amamantar al niño a muy temprana edad.
Un niño con marasmo tiene una apariencia de delgadez extrema, su peso corporal puede reducirse hasta menos del 80% de su peso normal para su altura. El marasmo aparece en niños con desnutrición o con déficits emocionales en sus primeros años de vida; a un niño que no se le hace tratamiento se muere, debido a esta enfermedad.
La incidencia del marasmo se incrementa antes del primer año de edad mientras que la incidencia del kwashiorkor aumenta después de los 18 meses.
Los signos son las características comunes de la malnutrición de proteínas y energía: piel seca, pliegues de piel suelta colgando sobre los glúteos, axilas, etc. Pérdida drástica de tejido adiposo de áreas normales de depósitos grasos como los glúteos y los muslos. Los afectados habitualmente están irritables, vorazmente hambrientos. Puede haber bandas alternadas de pelo pigmentado y no pigmentado (en forma de bandera), o aspecto escamoso de la piel debido al cambio de piel.
Es esencial tratar no sólo los síntomas sino también las complicaciones de estos desórdenes tales como infecciones, deshidratación y trastornos del aparato circulatorio que frecuentemente son letales y provocan una alta mortalidad si son ignorados.
El marasmo debe ser tratado, preventivamente, el objetivo es revertirlo progresivamente. Aunque el apoyo nutricional es necesario, la replicación agresiva puede provocar severos desbalances metabólicos, como hipofosfatemia.
El tratamiento debe ser establecido poco a poco para lograr la readaptación de las funciones metabólicas e intestinales en los seres humanos.
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Kwashiorkor
Starved girl.jpg
Finales de la década de los 60, la fotografía muestra sentada, una niña apática que estaba entre muchos casos del kwashiorkor encontrados en los campamentos de refugiados nigerianos durante la guerra entre Nigeria y Biafra.
Clasificación y recursos externos
CIE-10 E40, E42
CIE-9 260
DiseasesDB 7211
MedlinePlus 001604
MeSH D007732
Sinónimos
Desnutrición proteica, Desnutrición proteica calórica, Desnutrición maligna, Mehlnährschaden
Wikipedia no es un consultorio médico Aviso médico 
El Kwashiorkor es una enfermedad de los niños debida a la ausencia de nutrientes, como las proteínas en la dieta. El nombre de Kwashiorkor deriva de una de las lenguas Kwa de la costa de Ghana y significa "el que se desplaza", refiriéndose a la situación de los niños mayores que han sido amamantados y que abandonan la lactancia una vez que ha nacido un nuevo hermano.
Cuando un niño nace, recibe ciertos aminoácidos esenciales para el crecimiento procedentes de la leche materna. Cuando el niño es destetado, si la dieta que reemplaza a la leche tiene un alto contenido en fécula y carbohidratos, y es deficiente en proteínas, como es común en diferentes partes del mundo donde el principal componente de la dieta consiste en almidones vegetales, o donde el hambre hace estragos, los niños pueden desarrollar Kwashiorkor.
Los signos de Kwashiorkor incluyen abombamiento abdominal, coloración rojiza del cabello y despigmentación de la piel. El abdomen abombado es debido a ascitis o retención de líquidos en la cavidad abdominal por ausencia de proteínas en la sangre y favorece el flujo de agua hacia el abdomen. Generalmente, la enfermedad puede ser tratada añadiendo a la comida alimentos energéticos y proteínas; sin embargo, la mortalidad puede ser tan alta como del 60% y puede haber secuelas a largo plazo como niños con talla corta, y en casos severos, retraso mental.
Existen varias explicaciones para el desarrollo del Kwashiorkor que no dejan de ser controvertidas. Se acepta que la deficiencia de proteínas, en combinación con la falta de energía y micronutrientes en la dieta, es muy importante pero no son los factores más importantes. El trastorno es muy parecido a la deficiencia de nutrientes indispensables como el hierro, el ácido fólico, el yodo, el selenio, la vitamina C, especialmente cuando se combinan con la ausencia de antioxidantes, como el glutatión, albúmina, vitamina E y ácidos grasos poliinsaturados. La deficiencia de nutrientes y antioxidantes exponen al estrés y a la mayor susceptibilidad de padecer infecciones.
Otros síndromes de malnutrición son el marasmo y la caquexia; sin embargo, se deben al efecto de otras enfermedades.

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  • Información sobre hierbas medicinales y suplementos dietarios.
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  • Videos de anatomía y cirugías.
  • Tutoriales interactivos con animaciones y audio para explicar condiciones de salud y procedimientos.
  • También ofrece una versión para dispositivos móviles.

http://www.nlm.nih.gov/medlineplus/spanish/healthtopics.html

DIMDI.de


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Wednesday, May 22, 2013

Disminución de la lucidez mental

Es un estado de disminución de la conciencia.
El coma es un estado de disminución de la lucidez mental del cual un paciente no se puede despertar. El coma prolongado se denomina estado vegetativo.
Ver también:

Causas

Muchas afecciones pueden causar una disminución de la lucidez mental, como:
Lesión o trastornos cerebrales, tales como:
Lesión o accidentes, como:
  • Accidentes de buceo y ahogamiento inminente
  • Insolación
  • Temperatura corporal muy baja (hipotermia)
Problemas respiratorios o cardíacos, como:
Toxinas y drogas, como:
  • Consumo excesivo de alcohol (beber demasiado o daño a raíz del consumo prolongado de alcohol).
  • Exposición a metales pesados, hidrocarburos o gases tóxicos.
  • Consumo exagerado de drogas como opiáceos, narcóticos, sedantes y ansiolíticos o anticonvulsivos.
  • Efectos secundarios de casi cualquier medicamento, como los que se utilizan para tratar convulsiones, depresión, psicosis y otros padecimientos.

Cuidados en el hogar

Consiga ayuda médica para cualquier disminución en el estado de conciencia, incluso cuando se debe a intoxicación por alcohol, un desmayo o un trastorno convulsivo que previamente ha sido diagnosticado.
Ver el artículo sobre convulsiones para obtener consejos sobre la forma de cuidar de una persona que está experimentando una convulsión (crisis epiléptica).
Las personas con epilepsia u otro trastorno convulsivo deben llevar un brazalete o colgante de Medic-Alert (alerta médica) que describa su afección. Ellas deben evitar cualquier situación que haya desencadenado una convulsión en el pasado.

Cuándo contactar a un profesional médico

Consiga ayuda médica si alguien experimenta una disminución inexplicable en su lucidez mental. Asimismo, llame al número local de emergencias (el 911 en los Estados Unidos) si la persona no recupera la lucidez mental normal rápidamente.

Lo que se puede esperar en el consultorio médico

Con mayor frecuencia, una persona con disminución del estado de conciencia será evaluada en una sala de urgencias.
El médico realizará un examen físico, el cual incluye una evaluación detallada del corazón, la respiración y el sistema nervioso.
El equipo médico hará preguntas acerca de la historia clínica de la persona y los síntomas, como:
  • Patrón de tiempo
    • ¿Cuándo ocurrió la disminución del estado de conciencia?
    • ¿Cuánto duró?
    • ¿Ha sucedido alguna vez antes? De ser así, ¿Cuántas veces?
    • ¿Se comportó la persona de la misma manera en episodios previos?
  • Historia clínica
    • ¿Padece la persona epilepsia o un trastorno convulsivo?
    • ¿Sufre de diabetes?
    • ¿La persona ha estado durmiendo bien?
    • ¿Ha habido un traumatismo craneal reciente?
  • Otros
    • ¿Qué medicamentos está tomando la persona?
    • ¿Consume alcohol o drogas de manera regular?
    • ¿Qué otros síntomas están presentes?
Los exámenes que pueden realizarse son:
El tratamiento depende de la causa subyacente de la disminución del estado de conciencia. El pronóstico de la persona depende de la causa de la afección. Cuanto más tiempo la persona presente una disminución o alteración del estado de conciencia, peor será el pronóstico.

Nombres alternativos

Estuporoso; Disminución del estado mental; Pérdida de la lucidez mental; Reducción del estado de conciencia; Cambios en el estado de conciencia; Obnubilación o embotamiento; Coma; Falta o ausencia de respuesta

Referencias

Blok BK, Newman TM. Syncope. In: Tintinalli JE, Kelen GD, Stapczynski JS, Ma OJ, Cline DM, eds. Emergency Medicine: A Comprehensive Study Guide. 6th ed. New York, NY: McGraw-Hill; 2004:chap 52.
Huff JS. Altered mental status and coma. In: Tintinalli JE, Kelen GD, Stapczynski JS, Ma OJ, Cline DM, eds. Emergency Medicine: A Comprehensive Study Guide. 6th ed. New York, NY: McGraw-Hill; 2004:chap 259.
Kirsch TD. Head injury. In: Tintinalli JE, Kelen GD, Stapczynski JS, Ma OJ, Cline DM, eds. Emergency Medicine: A Comprehensive Study Guide. 6th ed. New York, NY: McGraw-Hill; 2004:chap 255.
Huff JS, Martin ML. Altered mental status and coma. In: Wolfson AB, Hendey GW, Ling LJ, et al, eds. Harwood-Nuss' Clinical Practice of Emergency Medicine. 5th ed. Philadelphia, Pa: Lippincott Williams & Wilkins; 2009:chap 14.

Actualizado: 4/3/2011

Versión en inglés revisada por: Jacob L. Heller, MD, MHA, Emergency Medicine, Virginia Mason Medical Center, Seattle, Washington. Also reviewed by David Zieve, MD, MHA, Medical Director, A.D.A.M., Inc.
Traducción y localización realizada por: DrTango, Inc.

murino -Murinae

http://www.nlm.nih.gov/medlineplus/spanish/ency/article/003202.htm

Murinae (roedores del viejo mundo)
http://es.wikipedia.org/wiki/Murinae
Los murinos (Murinae) son una subfamilia de roedores miomorfos perteneciente a la familia Muridae, que incluye a los comúmnente llamados ratones y ratas del viejo mundo. Incluye al menos 519 especies. Esta subfamilia es mayor que todas las familias de mamíferos, excepto Cricetidae, y más grande que todos los órdenes de mamíferos, excepto los murciélagos, y el resto de los roedores.
http://www.nlm.nih.gov/medlineplus/spanish/ency/article/001363.htm